Soudain on a des envies ténébreuses,
Des envies de se faire souffrir,
Suite à des tortures intérieures,
Qu’elles soient physique ou morales,
On n'arrive plus à s'évader à se contrôler,
Et là on prend cette lame,
Qui nous tranche les poignets d’un seul coup,
Nos poignets n'arrêtent plus de saigner,
La souffrance est tel qu'on sevanouis,
Allonger nus par terre,
Et là on est bien,
On est dans un monde que l'on a toujours rêvait,
On monde ou l'on ne se fait plus injurier,
Pour se qu'on ai ou se qu'on ait pas,
Un monde oû les amis s'est la vie,
Oû ils nous donne envie de rire,
Mais surtout de vivre,
Mais on retombe dans la réalité,
On on se réveille dans le sang et la souffrance, ,
Et soudain on se demande si on n'en finit ou si on continue de vivre.